Punition érotique dans la cage d’escalier

Par : Nicolas

Cage d'escalier en colimaçon

C’était un dimanche pluvieux à Angers, et je me dirigeais vers un célèbre café. Alors que je m’approchais du lieu de rendez-vous, une anxiété sourde s’emparait de moi et je me demandais quelles forces mystérieuses dirigeaient mes pas.

Perdu dans mes pensées, je poussais la porte du café et observai la foule dense en cette fin d’après-midi. C’est alors que je la vis, elle avait ostensiblement posé sur la table le magazine féminin qui devait me permettre de la reconnaître. En m’approchant timidement de sa table, je balbutiais ces quelques mots en sa direction.

« Bonjour, je suis Nicolas »

Ni une, ni deux, elle m’invite à m’asseoir d’un geste de la main. Alors, que nous échangeons quelques banalités sur nos vies respectives, je me remémore l’annonce que j’ai postée :

« Jeune chef d’entreprise cherche femme soumise pour jeux… »

Au bout d’une dizaine de minutes, elle me sort brusquement de ma léthargie en prononçant ces quelques mots :

« J’ai scrupuleusement suivi vos instructions. »

Je finis de reprendre contact avec le monde réel en la dévisageant.

C’est une jeune femme ravissante, son visage est d’une beauté absolue et ses lunettes, assorties à un maquillage subtil, ne font qu’ajouter à son charme irrésistible.

Brune, au teint lumineux, elle possède des yeux noisettes qui captivent l’attention. Elle dégage une aura de confiance en soi, comme si elle était parfaitement à l’aise dans sa peau.

Bien que l’atmosphère du café soit chaude et humide, elle conserve son manteau qui laisse entrevoir une poitrine opulente. Cette vue aiguisant ma curiosité, je lui demande d’ôter son manteau.

Elle est vêtue d’une veste de tailleur sombre, sous laquelle transparaît un chemisier clair. Les contours de ses jambes sont dissimulés par la table, ne me permettant pas pour l’instant de poursuivre mes observations.

Souhaitant pimenter assez rapidement notre rencontre, je lui ordonne d’ouvrir sa veste et de défaire quelques boutons de son chemisier.

À cet ordre, la confiance naturelle qu’elle semblait dégageait fut balayée, laissant place à une jeune femme aux mouvements hésitants et tremblants. Elle semblait désormais perturbée intérieurement mais s’exécuta. Cela me permis de découvrir les premiers indices d’une lingerie noire et de confirmer mes premières impressions sur sa poitrine généreuse.

Après m’avoir demandé l’autorisation de s’absenter un court moment, je la vois s’éloigner. Cela me permet, d’enfin observer le reste de sa silhouette. Elle a une taille moyenne, mais elle possède des proportions parfaites. Sa jupe, qui s’arrête juste au-dessus du genou, est dotée d’une fente sur le côté, permet à quiconque d’admirer sa jambe longiligne, vêtue d’un voile noir.

Malgré mes efforts pour me contorsionner sur la banquette sur laquelle je suis assis, je n’arrive pas à déterminer si cette seconde peau laisse paraître la zone située au-dessus des cuisses. De plus, il n’y a aucun indice permettant de déduire ce qu’elle porte sous cette jupe qui, décidément, cache bien des secrets. Dès son retour, je l’interroge immédiatement.

« Collants ou bas ? »

Elle me fait part avec franchise de sa coquetterie en portant des bas auto-fixants. En d’autres occasions, cette réponse m’aurait pleinement satisfait, mais en ma qualité de dirigeant exigeant, j’ai jugé nécessaire de la réprimander fermement en lui faisant part de sa faute en matière de mode.

Je lui demande ensuite avec précision de décrire le sous-vêtement qui accompagne son bustier. Elle me décrit en détail un string bleu en dentelle, à la couverture minimale. À ce moment-là, je pense qu’elle a sciemment choisi de coordonner ses jolis bas noirs avec une petite culotte d’une teinte différente.

Il n’en a pas fallu davantage pour que je saisisse l’opportunité de souligner son manque de discernement flagrant dans l’harmonisation des couleurs. À cet instant, elle essaye de se défendre, ce qui n’a pour résultat que d’accroître ma colère. Je mets fin à la conversation en l’interrompant abruptement.

« Venez ! Vous allez être punie ! »

En bonne petite soumise, elle me suivit dehors sans un mot…

Ayant conscience que la réussite de cette entrevue se joue à cet instant précis, j’avais prévu de me rendre dans un une cage d’escalier d’immeuble que je connais non loin de notre café.
Arrivé sur place, il n’y a personne et cela risque de rester comme tel puisque cet endroit est très peu emprunté par les résidents.

« En position ! »

En réaction à cet impératif catégorique, elle se penche vers l’avant, s’appuyant contre la rambarde de l’escalier à proximité. Je corrige sa posture en écartant subtilement ses pieds. Ses fesses, légèrement surélevées par rapport à son buste, sont désormais exposées de manière optimale, et je ne peux m’empêcher de m’attarder quelques instants pour contempler cette scène.

Du point de vue physique, cette femme dispose encore une fois d’atouts remarquables… Ses fesses, qui ont probablement été fortifiées par de nombreuses séances de musculation, révèlent une forme rebondie et une texture ferme et agréable.

Je commence à effleurer doucement ce corps qu’elle me présente à travers le tissu de ses vêtements. Elle tressaille légèrement de surprise lors de la première claque que j’applique sur sa fesse droite. Cependant, je continue sans relâche en alternant régulièrement la cible de mes coups : fesse droite, fesse gauche, fesse droite… À travers mes mains, je perçois qu’elle se détend peu à peu et qu’elle savoure cette correction.

Je fais une pause pour soulever avec précaution sa jupe et la remonter jusqu’à sa taille. Son petit string est tendu en raison de sa posture, et je remarque quelques poils bruns épars à l’entrejambe, qui s’harmonisent parfaitement avec la couleur de sa chevelure. La présence de cette pilosité légèrement abondante dans cette zone éveille encore plus mon excitation. En effet, cela renforce l’image que j’ai en tête d’elle en tant que petite vicieuse, qui mérite d’être punie.

Désormais, je m’efforce de la fesser plus vigoureusement, et ma main commence à chauffer au fur et à mesure que les zones de peau exposées rougissent. Elle réagit maintenant à chaque coup de manière audible, émettant un petit cri.

Avec ses fesses tendues, je ne peux que remarquer que la couleur de son string devient transparente au fur et à mesure de mes coups, me permettant ainsi d’apercevoir ses lèvres vaginales à travers le fin tissu.

Elle s’est inclinée encore plus en avant, prenant appui sur son avant-bras et libérant ainsi l’une de ses mains. J’ai cru qu’elle allait s’en servir pour se protéger, mais au lieu de cela, elle l’a dirigée vers son entrejambe, décalant sur le côté son string pour se caresser.

J’ai interrompu son geste, car ce n’était pas encore le moment. Profitant de cette pause, j’ai retiré le dernier rempart qui cachait son intimité jusqu’à ses genoux, qu’elle a ensuite enlevé elle-même.

La fréquence et la force des coups augmentent, je constate que ses fesses sont maintenant d’un rouge vif. Les bruits répétitifs des gifles sont les seuls à troubler le silence pesant de l’environnement.

Son excitation est à son comble et elle ne peut plus supporter de continuer à être fessée sans agir. Elle se met alors à se caresser frénétiquement, alternant les mouvements circulaires sur son clitoris et les pénétrations profondes à l’intérieur de son intimité.

Enfin, le moment tant attendu arrive… Je me suis agenouillé derrière elle pour l’aider à atteindre cette jouissance intense qui semblait être à portée de main.

Étant en mesure d’explorer tous ses orifices, je lui prodiguais des caresses avec ma langue sur sa zone génitale délicieusement humide, en alternant entre sa vulve et son anus.

Au final, il ne s’est écoulé qu’un court instant avant que des spasmes saccadés et un râle de plaisir ne viennent marquer cette jouissance qui semblait être d’une grande intensité.

Elle se redresse, se tourne vers moi en disant « Merci » avec un sourire béat.

Ma part du contrat terminé, je lui proposais d’aller boire un verre.

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